COMPAGNIE AMALA DIANOR

DUB

Création 2023
Pièce pour 11 interprètes et 1 musicien live

Chorégraphie : Amala Dianor
Artiste visuel : Grégoire Korganow
Musicien live : Awir Leon
Avec Slate Hemedi Dindangila, Romain Franco, Jordan John Hope, Enock Kalubi Kadima, Mwendwa Marchand, Kgotsofalang Joseph Mavundla, Sangram Mukhopadhyay, Tatiana Gueria Nade, Yanis Ramet, Germain Zambi, Asia Zonta
Lumières et régie générale : Nicolas Tallec
Costumes : Minuit Deux, Fabrice Couturier
Régie son : Emmanuel Catty
Régie plateau : Martin Rahard, David Normand
Directrice délégué : Mélanie Roger
Direction technique décor : Véronique Charbit
Chargée de production : Lucie Jeannenot
Direction technique décor : Véronique Charbit
Construction décor : Juan Cariou, Fabienne Desfleches, Paul Dufayet, Valentin Dumeige, Moïse Elkaout, Gaëlle Lestum, Valentin Thuillier, Fanchon Voisin
Graffeur Décor : François Ravea

Avec de jeunes danseurs influencés par des esthétiques venues du monde entier, DUB convoque la vitalité musicale et chorégraphique de la génération Z dans une utopie joyeuse, libre et contemporaine.

Elles s’appellent le whacking, le dancehall, le hell, le jookin, la pantsula. Diffusées via les réseaux sociaux, ces danses urbaines 2.0 sont issues de communautés spécifiques implantées en Corée, Europe, aux États-Unis ou en Afrique du Sud et de l’Ouest. Leurs interprètes, aussi connectés que virtuoses, puisent leur énergie rythmique dans les beats de DJ remixant des musiques traditionnelles ou populaires. Tout en empruntant aux références chorégraphiques de leurs aînés de la génération hip-hop, ils inventent une gestuelle libre et hybride qui inspire Amala Dianor. Le chorégraphe est allé à leur rencontre physique dans leurs différents lieux de vie, accompagné du photographe Grégoire Korganow. Selon le processus d’appropriation de la Dub music, qui distord le reggae acoustique en le mêlant à des sons électroniques, il les a ensuite invités à déplacer et prolonger leurs techniques de danse respectives autour d’un champ commun d’expérimentation, « territoire éphémère conçu comme un espace de rencontre ». Dans le même esprit, le dispositif visuel de la pièce s’inspire des espaces vus sur place, du ballroom collectif à l’appartement privé, tandis que la composition musicale d’Awir Léon se nourrit des influences propres à chaque pratique. De la citation à la (re)-création, un tableau vivant, créatif, jouissif, des danses d’aujourd’hui.

 

COMPAGNIE AMALA DIANOR
Après un brillant parcours d’interprète, Amala Dianor a créé en 2012 sa compagnie Kaplan. Depuis son solo Man Rec en 2014, où il explorait ses origines africaines, à The Falling Stardust (2019) pour neuf danseurs contemporains et classiques, ou Emaphakathini (2022) pour les Via Katlehong, il hybride avec bonheur formes et styles entre le hip-hop, sa terre artistique d’origine, et le contemporain – il a été formé au Cndc d’Angers. En 2021, il a également réalisé les courts-métrages CinéDanse avec Grégoire Korganow.

Crédit

Production : Kaplan I Cie Amala Dianor, conventionnée par le ministère de la Culture -DRAC Pays de la Loire, la Région Pays de la Loire et la Ville d’Angers. La Cie Amala Dianor est régulièrement soutenue dans ses projets par l’Institut Français, l’ONDA. La Compagnie bénéficie du soutien de la Fondation BNP Paribas depuis 2020. Amala Dianor est actuellement associé à Touka Danses CDCN Guyane (2021-2024), au Théâtre de Mâcon, scène nationale (2023-2025) et membre du Grand Ensemble Les Quinconces & L’Espal, Scène nationale le Mans (2021-2024).

Coproduction : Festival de Danse Cannes – Côte d’Azur France ; Théâtre de la Ville – Paris ; Théâtre de Mâcon, Scène nationale ; Touka Danses CDCN Guyane ; Les Quinconces & L’Espal, Scène nationale du Mans ; Le Volcan, Scène nationale du Havre ; Équinoxe, Scène nationale de Châteauroux ; Julidans – Pays-Bas ; Maison de la Danse, Lyon ; JuliDans, Pays-Bas ; Le Grand R, Scène nationale la Roche-sur-Yon ; Scène nationale d’Albi-Tarn; Cndc Angers.

Aide à la création : Fondation BNP Paribas abritée par la Fondation de France ; Ville d’Angers ; Région Pays de la Loire.

Résidence de recherche : Villa Albertine, USA, 2023, en partenariat avec le Théâtre de la Ville-Paris.

Résidence de Construction Décor : Paris Le Moulin Fondu, Oposito – CNAREP, Garges-lès-Gonesse.

Workshop audition : Ménagerie de Verre, Paris.

                                                                                                                                                                   
Cette création est présentée au Festival grâce au soutien de la : 
                       
Première mondiale
Première mondiale

Samedi 9 décembre 2023

20h30 - Durée : 1h
Placement Numéroté
Abonnez-vous 6 spectacles + Carte Liberté
de 16€ à 40€
Tout public à partir de 6 ans

+ PROJECTION FILM DOCUMENTAIRE

MONSTRE MAGIQUE de Grégoire Korganow

Sam. 9 déc – 10h30 (entrée libre)



+ MASTER CLASS avec un danseur de la Cie AMALA DIANOR

Jeu. 7 déc à 18h00 – Palais des Festivals 

(sur inscriptions auprès de Julie PARISSE – Tel : 04 92 99 33 78 parisse@palaisdesfestivals.com)

Carolyn Carlson, Dare to risk
Film portrait de Damien Pettigrew
Cliquez ici

Projection
Carolyn Carlson, Dare to risk

Un parcours cinématographique est proposé en lien avec la programmation du Festival, l'occasion d'approfondir ses connaissances autour de figures majeures de la danse

Film portrait Carolyn Carlson,
Dare to risk 2021, France, 52 min de Damien Pettigrew – Avant-première

Projection en présence de Carolyn Carlson, du réalisateur Damien Pettigrew et du producteur Olivier Gal.

 

Ce documentaire est la chronique d’un processus créatif unique : la grande chorégraphe nous donne un accès sans précédent à son travail, à ses projets en cours et à ses archives personnelles. Les images d’archives soigneusement sélectionnées couvrant les quarante dernières années révèlent l’influence que sa vie et ses liens profonds avec l’inconscient ont eue sur les pièces complexes et imaginatives qu’elle a créées. Comprenant des entretiens exclusives, des séquences de répétitions intimes et des séquences de danse éblouissantes, le film est la première perspective critique sur la carrière brillante d’une femme aux multiples facettes.

dimanche

12 decembre 2021

10h Durée 52 min
Palais des Festivals
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Projections organisées en partenariat avec Cannes Cinéma et le Centre national de la Danse

RESERVATION

inscriptions conseillées pour les groupes au 04 92 99 33 78 ou rpublic@palaisdesfestivals.com

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INDES GALANTES

Un parcours cinématographique est proposé en lien avec la programmation du Festival, l'occasion d'approfondir ses connaissances autour de figures majeures de la danse

INDES GALANTES

Film documentaire de Philippe Béziat – 

2020, France, 1h48

 

 

C’est une première pour 30 danseurs de hip-hop, krump, break, voguing… Une première pour le metteur en scène Clément Cogitore et pour la chorégraphe Bintou Dembélé. Et une première pour l’Opéra de Paris. En faisant dialoguer danse urbaine et chant lyrique, ils réinventent ensemble le chef-d’œuvre baroque de Jean-Philippe Rameau, Les Indes Galantes. Des répétitions aux représentations publiques, c’est une aventure humaine et une rencontre aux enjeux politiques que nous suivons : une nouvelle génération d’artistes peut-elle aujourd’hui prendre la Bastille ?

samedi

4 decembre 2021

10h Durée 1h48
Cinéma Les Arcades
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Projections organisées en partenariat avec Cannes Cinéma et le Centre national de la Danse

RESERVATION

inscriptions conseillées pour les groupes au 04 92 99 33 78 ou rpublic@palaisdesfestivals.com

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LOUISE LECAVALIER, SUR SON CHEVAL DE FEU

Un parcours cinématographique est proposé en lien avec la programmation du Festival, l'occasion d'approfondir ses connaissances autour de figures majeures de la danse

Louise Lecavalier, sur son cheval de feu

Film documentaire de Raymond St-Jean – 

2018, Québec, 1h42

 

 

 

 

Le long métrage documentaire Louise Lecavalier, sur son cheval de feu propose une plongée cinématographique au coeur de l’oeuvre et de la vie de la danseuse et chorégraphe canadienne Louise Lecavalier. Des danses spectaculaires, des musiques originales et des entrevues exclusives composent un film inspirant et émouvant qui dessine le portrait intime d’une artiste passionnée et toujours habitée par la quête du mouvement parfait.

Dimanche

28 novembre 2021

10h Durée 1h42
Palais des Festivals
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Projections organisées en partenariat avec Cannes Cinéma et le Centre national de la Danse

RESERVATION

inscriptions conseillées pour les groupes au 04 92 99 33 78 ou rpublic@palaisdesfestivals.com

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Projection a dancer's world AVEC MARTHA GRAHAM

Un parcours cinématographique est proposé en lien avec la programmation du Festival, l'occasion d'approfondir ses connaissances autour de figures majeures de la danse

A Dancer's World

Court-métrage  de Peter Glushanokavec Martha Graham.

1957, États-Unis, 31 min

Projection en présence de Janet Eilber, directrice artistique de Martha Graham Dance Company

 

Tandis qu’elle s’apprête à tenir le rôle de Jocaste, Martha Graham nous présente sa compagnie, parle de la vie, de l’art et de la technique du danseur.

« A Dancer’s World est un film magnifique car il montre la danse là où on ne l’attend pas. Le montage alterne la loge, où l’on voit Martha Graham se maquiller avant d’entrer en scène pour interpréter Night Journey tout en méditant sur la formation du danseur, et des séquences de danse de la compagnie.

Martha Graham en se coiffant, s’habillant, évoque le monde de la danse : comment on devient un personnage, la nécessité de la discipline en studio, le temps qu’il faut – des années d’exercice – pour accéder à la simplicité, à la spontanéité, à l’instant de l’acte théâtral. » 

Bernard Rémy

SAMEDI

27 novembre 2021

18h Durée 31 min
Palais des Festivals
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Projections organisées en partenariat avec Cannes Cinéma et le Centre national de la Danse

RESERVATION

inscriptions conseillées pour les groupes au 04 92 99 33 78 ou rpublic@palaisdesfestivals.com

LES

Carnets
du festival

EXPOSITION

Rosella Hightower

Palais des Festivals

À l’occasion du 60e anniversaire de l’École Supérieure de Danse Rosella Hightower, le Festival souhaite rendre hommage à cette personnalité majeure du monde de la danse. Première ballerine américaine à gagner une place d’élite sur les scènes européennes et reine incontestée de la compagnie du Marquis de Cuevas, Rosella Hightower fonde en 1961 à Cannes un Centre international de danse qui est aujourd’hui l’une des plus grandes écoles de danse dans le monde.

du samedi 27 novembre au dimanche 12 décembre

Ouvert les jours de représentation au Palais des Festivals (1h avant le début des spectacles – accès sur présentation du billet spectacle).

27 et 28 Novembre et 1er, 4, 5, 11 et 12 décembre

Rens. Nitya Fornaresio 04 92 99 33 78 – rpublic@palaisdesfestivals.com

EXPOSITION

SYSTÈME CASTAFIORE - Imaginarium

Palais des Festivals – Espace Toscan du Plantier

Le collectif, basé à Grasse et formé par la chorégraphe Marcia Barcellos et le vidéaste et compositeur Karl Biscuit, n’a aucun équivalent dans le paysage chorégraphique.
Venez découvrir leur univers esthétique singulier à travers une exposition constituée de tirages d’Art grands formats réalisés en technique mixte, photographique et numérique, à partir d’images issues d’un répertoire de 25 créations, de recherches plastiques dans les domaines du costume, du décor et du personnage. Une ambiance sonore originale dialoguera avec les images et une installation de costumes remarquable ! 

du samedi 27 novembre au dimanche 12 décembre

Ouvert les jours de représentation au Palais des Festivals dès 17h : 
27 et 28 Novembre et 1er, 4, 5, 11 et 12 décembre

Palais des Festivals – Espace Toscan du Plantier

Accès libre dans la limite des places disponibles –

Rens. Nitya Fornaresio 04 92 99 33 78 – rpublic@palaisdesfestivals.com

CAROLYN CARLSON COMPANY
SPECTACLE COMPLET

CAROLYN CARLSON COMPANY

Spectacle complet

Prologue

Chorégraphie et interprétation : Carolyn Carlson
Musique live : Guillaume Perret (saxophone électrique)

La chorégraphe déploie sa « poésie visuelle » dans une improvisation portée par la musique à la fois synthétique et organique de Guillaume Perret.

Crossroads to synchronicity

Première en région
Création 2017
Pièce pour 6 interprètes

Chorégraphie et conception films : Carolyn Carlson avec la complicité des interprètes
Interprètes : Juha Marsalo, Céline Maufroid, Riccardo Meneghini, Isida Micani, Yutaka Nakata, Sara Orselli
Assistant chorégraphique : Henri Mayet
Répétitrice : Colette Malye
Création lumière : Rémi Nicolas, assisté de Guillaume Bonneau
Conseil musical et créations sonores : Nicolas de Zorzi
Musiques : John Adams, Ry Cooder, Bon Iver, Tom Waits, Laurie Anderson, Alela Diane, Jean Sibelius, Clint Mansell, Bob Dylan, Gavin Bryars, Bruce Springsteen, Henry Purcell
Costumes : Elise Dulac et Emmanuelle Geoffroy, en collaboration avec Colette Perray, Léa Drouault, Cécile Pineau
En hommage à John Davis.

Une pièce d’une beauté stupéfiante qui nous parle d’amour, de rencontres, d’émotions intenses, de circonstances singulières, d’une manière puissante et lumineuse. En prologue, Carolyn Carlson déploie sa « poésie visuelle » dans une improvisation portée par la musique à la fois synthétique et organique de Guillaume Perret. 

Présentation

Au terme « chorégraphie », Carolyn Carlson préfère celui de « poésie visuelle ». En voyant Crossroads to Synchronicity on ne peut que lui donner raison, tant cette pièce est empreinte de profondeur onirique, déployant le mouvement dans un temps suspendu qui ressemble aux méandres de son imaginaire. Crossroads to Synchronicity revisite une pièce de 2012, inspirée par le principe de synchronicité emprunté à Carl Jung. Elle est l’expression d’une perception sensible des événements qui bouleversent le cours d’une vie. A la « croisée des chemins » une porte ouvre sur l’inconscient. Et Carolyn Carlson semble tailler sa pièce dans l’étoffe des rêves et les ressacs de la mémoire. La chorégraphe offre, en seize tableaux d’une beauté à couper le souffle, une pièce empreinte de romantisme, sur des séquences musicales évocatrices qui nous rappellent l’Amérique de sa jeunesse : Roy Cooder, Bob Dylan, Bruce Sprinsteen… ou ses origines finlandaises à travers La Valse triste de Sibelius. Ainsi, elle nous transporte dans un autre monde… Qui n’est autre que l’univers de Carolyn Carlson, baigné d’une lumière quasi métaphysique dont la moindre variation nous entraîne vers d’autres paysages porteurs d’aubes, de crépuscules ou de nuages d’orage. Une fenêtre ouvrant sur un extérieur chimérique, plongé dans un brouillard crépusculaire nous fait apercevoir des personnages en ralenti extrême et surréel, images d’un passé très présent.

Le mot de Brigitte Lefève : Carolyn Carlson, je l’ai vue la première fois au théâtre de Chatillon avec Alwin Nikolaïs ! Elle m’a semblé être un OVNI par sa beauté et son art de sculpter l’espace. Depuis, nous n’avons cessé de nous croiser au cours de nos itinéraires respectifs. Que cette femme exceptionnelle soit là pour conclure mon dernier festival me touche énormément. Sa présence est aussi un beau cadeau pour le public.

Quelques mots sur la chorégraphe
Née en Californie, Carolyn Carlson s’est fait d’abord connaître comme soliste chez Alwin Nikolaïs, avant de créer ses propres œuvres et de s’installer en 1971 en France où elle va jouer un rôle majeur dans l’éclosion de la danse contemporaine. L’année suivante, elle chorégraphie Rituel pour un rêve mort. Rolf Liebermann, alors directeur de l’Opéra de Paris la remarque et l’invite comme « étoile chorégraphe » à créer le GRTOP en 1974. A partir de 1980, elle dirige successivement le Teatro Danza à Venise, le Ballet Cullberg à Stockholm, la section danse de la Biennale de Venise. De retour en France, elle fonde L’Atelier de Paris Carolyn Carlson en 1999, prend la tête du CCN de Roubaix (Ballet du Nord) en 2004, avant de créer la Carolyn Carlson Company en 2014.

Mentions obligatoires
Production : Carolyn Carlson Company
Coproduction : Le Théâtre de Rungis avec la collaboration de la Ville de Mons-en-Baroeul et du CDCN Atelier de Paris
Avec le soutien financier de Tilder

La Carolyn Carlson Company est subventionnée par le Ministère de la Culture (DGCA-délégation danse) et reçoit le soutien du Crédit du Nord.

Dimanche

12 décembre 2021

18h Durée 1h25
Palais des Festivals - Théâtre Debussy (Cannes)
de 10€ à 36€
Abonnez-vous dès 6 spectacles
Dès 8 ans
Rencontre avec l’équipe artistique à l’issue du spectacle

AUTOUR DU FESTIVAL

Projection documentaire
Film portrait Carolyn Carlson
Dim. 12 Décembre 10h

LES

Carnets
du festival

MIÉ COQUEMPOT – BÉATRICE MASSIN – BRUNO BOUCHÉ

OFFRANDE

Première en région
Création 2021

Pièce pour 7 interprètes
Conception : Mié Coquempot
Chorégraphie : Mié Coquempot, Béatrice Massin et Bruno Bouché
Musique : Offrande Musicale de Jean-Sébastien Bach – BWV 1079
Interprètes : Lou Cantor, Pavel Danko, Charles Essombe, Rémi Gérard, Léa Lansade, Anne Laurent, Philippe Lebhar
Notatrice et assistante à la chorégraphie : Maud Pizon
Scénographie : Tofu & Soyu
Costumes : Paul Andriamanana assisté de Stéphanie Pitiot
Régie Générale et Lumières : Christophe Poux
Production : Lucie Mollier

OFFRANDE est l’œuvre testament de Mié Coquempot qui avait choisi de la partager avec deux autres chorégraphes, réconciliant plusieurs styles de danse sous l’égide de la musique de Bach.

Présentation

OFFRANDE, est une création « à six mains » composée sur l’Offrande musicale de Jean-Sébastien Bach, sommet du contrepoint avec ses canons à voix multiples. Elle est considérée comme le chef-d’œuvre « d’un maître qui tire les conclusions non seulement des expériences d’une vie, mais d’une époque entière ». Elle rassemble sept interprètes que Mié Coquempot, Béatrice Massin et Bruno Bouché ont fait se rencontrer pour cette pièce. Cette OFFRANDE est aussi un hommage à Mié Coquempot (1971-2019) et un exemple saisissant de coopération entre artistes. Chacun d’entre eux a disposé des mêmes interprètes, du même temps d’écriture, des mêmes costumes, de la même scénographie. Ils ont en commun l’amour de la musique et travaillent le mouvement en relation avec celle-ci. L’architecture délicate de l’œuvre de Bach, qui tresse les différentes voix comme autant de fils qui s’entrelacent construit la structure fondamentale de cette chorégraphie multiple où se rejoignent les écritures baroque, classique et contemporaine. OFFRANDE est bâtie comme une arche en cinq parties avec ses ricercare, ses canons, et le trio formant la voûte. Une œuvre lumineuse, d’une spiritualité affirmée dans son dialogue avec la partition de Bach qui retentit aujourd’hui comme un enjeu esthétique et un chemin de vie.

Le mot de Brigitte Lefèvre : J’avais rencontré Mié Coquempot au moment de la création de cette œuvre. L’entendre en parler m’avait beaucoup émue. C’est une pièce de transmission, qui porte haut les valeurs de partage. Alors que Mié n’est plus avec nous, elle continue à exister grâce à Béatrice Massin et Bruno Bouché, ce qui m’apparaît comme exemplaire.

Quelques mots sur les chorégraphes :

Mié Coquempot (1971-2019) débute sa carrière au sein de nombreuses compagnies. Formée à la musique autant qu’à la danse, elle a axé son travail de création sur un dialogue singulier et radical entre ces deux formes d’expression. En 1998, elle fonde sa compagnie K622, clin d’œil au Concerto pour clarinette de Mozart et a chorégraphié depuis plus de 35 pièces. En 2017, elle signe 1080 – ART DE LA FUGUE, inaugurant un cycle dédié à Jean-Sébastien Bach qui se referme avec OFFRANDE.

Béatrice Massin est une des plus grandes spécialistes de la danse baroque. Son écriture chorégraphique est un mélange inédit entre style baroque et danse contemporaine. Elle dirige la compagnie Fêtes galantes depuis 1993 et fait entendre, à notre siècle, un baroque qui intéresse le spectateur d’aujourd’hui.

Bruno Bouché fait toute sa carrière de danseur à l’Opéra de Paris. Depuis 1999, il est parallèlement directeur artistique d’Incidence Chorégraphique, qui produit les créations des danseurs du ballet de l’Opéra de Paris, représentées en France comme à l’étranger. Il signe ses propres œuvres depuis 2003. En 2013, il prend la direction artistique du festival Les Synodales à Sens. En juillet 2016, il est nommé directeur du CCN – Ballet de l’Opéra national du Rhin.

Mentions obligatoires
Production déléguée K622
Coproduction Paris Réseau Danse (Atelier de Paris – CDCN, ADDP – micadanses, L’Etoile du Nord – scène conventionnée pour la danse, AMD XXème – Le Regard du Cygne), CN D – centre national de la danse, La Briqueterie – CDCN du Val-de-Marne dans le cadre de l’accueil studio, dispositif soutenu par le Ministère de la Culture / DRAC Ile-de-France, L’échangeur – CDCN Hauts-de-France.
Avec le soutien du Ballet de l’Opéra national du Rhin et de la compagnie Fêtes Galantes
Avec le soutien de la Ville de Paris au titre de l’aide à la résidence ; création soutenue par le Département du Val-de-Marne
Création soutenue par l’ADAMI

K622 est soutenue par le Ministère de la Culture – DRAC Île-de-France
K622 est conventionnée par la Région Île-de-France

Dimanche

12 décembre 2021

15h Durée 50 min
Théâtre Croisette - Hôtel JW Marriott (Cannes)
de 10€ à 18€
Abonnez-vous dès 6 spectacles
Dès 12 ans
Rencontre avec l’équipe artistique à l’issue du spectacle

AUTOUR DU FESTIVAL

LES

Carnets
du festival

damien jalet & kohei nawa
Planet [wanderer]
SPECtacle annulÉ

DAMIEN JALET & KOHEI NAWA

Planet [wanderer]

la tournée du spectacle Planet [wanderer] de Damien Jalet et Kohei Nawa est annulée.


L’impossibilité de se produire à Saint Polten au mois de décembre (reconfinement national en Autriche) et d’organiser des répétitions indispensables pour la reprise de rôle de nouveaux interprètes suspend la poursuite des représentations.

Le spectacle prévu le Samedi 11 décembre à 20h30 au Palais des Festivals n’aura donc pas lieu.


Pièce pour 8 interprètes

Chorégraphie : Damien Jalet
Scénographie : Kohei Nawa
Assistante chorégraphique : Alexandra Hoàng Gilbert
Lumières : Yukiko Yoshimoto                                                                                    Musique : Tim Hecker

Interprètes : Shawn Ahern, Kim Amankwaa, Aimilios Arapoglou, Francesco Ferrari, Vinson Fraley, Christina Guieb, Astrid Sweeney, Ema Yuasa

 

Avec des pièces fascinantes qui se suspendent longtemps dans notre mémoire, Damien Jalet est l’un des chorégraphes les plus singuliers du temps présent. 

Présentation

D’un côté la Terre, de l’autre ceux qui l’arpentent : le vagabond, l’errant, le marcheur. Le titre en dit déjà long : l’un ne va pas sans l’autre dans cet amour onirique et viscéral entre les humains et la planète à laquelle ils sont liés. Pour Damien Jalet, Planet [wanderer] marque un nouveau jalon dans sa recherche chorégraphique consistant à réactiver la connexion entre l’homme et la nature, entre le physique et la métaphysique, entre le monde visible et l’invisible. Depuis Yama (la montagne en japonais) présenté au Festival de danse de Cannes en 2017, le chorégraphe nous plonge dans d’étranges rituels pour « percer le tissu du monde afin de révéler ce qui s’y cache, cette part perdue dans l’inconnu ». Planet [wanderer] est le second volet d’un diptyque entamé avec Vessel, une collaboration exceptionnelle entre Damien Jalet et le plasticien Kohei Nawa. Cette précédente pièce nous entraînait au cœur de deux niveaux de Kojiki (les plus anciens livres japonais qui décrivent la création du monde) : Yomi (le monde souterrain) et Takama-ga-hara (la haute plaine dans les cieux), un ballet fascinant où le corps humain semblait se métamorphoser au cours d’expériences spirituelles pour se fondre avec les éléments. Planet [wanderer] se déroule sur le troisième et dernier niveau : Ashihara-no-Nakatsukuni, soit La terre centrale des roseaux, qui n’est autre que notre planète, les roseaux représentant, comme chez Blaise Pascal, les humains que nous sommes. 

Le mot de Brigitte Lefèvre : Damien Jalet était présent dès 2015 au Festival de danse de Cannes et je l’ai programmé en 2017 pour la création de Yama avec le Scottish Ballet qui a été l’un des grands succès de ce festival. Il nous revient avec sa nouvelle pièce, Planet [wanderer], qui conjugue une quête de spiritualité à ses préoccupations écologiques.

Quelques mots sur le chorégraphe :

Révélé aux côtés de Sidi Larbi Cherkaoui, le danseur et chorégraphe Damien Jalet a pris, depuis 2013, un chemin très personnel qui plonge ses racines dans la diversité culturelle, les mythologies, et une pensée cosmopolite. Il travaille avec les plus grandes compagnies internationales, dont le Ballet de l’Opéra national de Paris. Parallèlement, il collabore avec Thom Yorke (Radiohead) pour Anima, un film dansé ou avec Madonna, dont il a signé certaines chorégraphies pour sa tournée Madame X. Damien Jalet travaille régulièrement avec le metteur en scène Arthur Nauzyciel et crée, en étroite collaboration avec le danseur Aimilios Arapoglou, souvent pilier de ses créations.

Mentions obligatoires
Production : Chaillot – Théâtre national de la Danse
Coproduction : Théâtre National de Bretagne / Festspielhaus St Pölten / Tokyo Metropolitan Theatre / Rohm Theatre Kyoto / Opéra de Rouen Normandie / Sandwich

Nominé pour le Prix FEDORA – VAN CLEEF & ARPELS pour le Ballet 2020 Cofinancé par le programme Europe créative de l’Union européenne

Samedi

11 décembre 2021

Modalités de Remboursement

Merci de bien vouloir vous rapprocher de votre point de vente pour le remboursement de vos places.

Pour la Billetterie du Palais des Festivals, merci d’envoyer par e-mail votre e-ticket + votre RIB, ou, si vous avez des billets imprimés, les envoyer par courrier à l’Office de Tourisme – Palais des Festivals et des Congrès – La Croisette CS 30051 – 06414 Cannes Cedex – 04 92 98 62 77 – billetterie@palaisdesfestivals.com.
A partir de la réception de vos places, le remboursement sera effectué dans le courant du mois.

Vous pouvez également échanger vos places sur un spectacle du même montant, ou d’un montant supérieur.

20h30 Durée 1h10
Palais des Festivals - Grand Auditorium (Cannes)
de 10€ à 42€
Abonnez-vous dès 6 spectacles
Dès 13 ans

LES

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