MASTER CLASS

MERCREDI 29 NOVEMBRE

De 14h00 à 16h00 | Cineum (Cannes La Bocca)

Master Class DANSE & CINÉMA

Découvrez les enjeux artistiques dans la réalisation d’un film de danse avec la venue exceptionnelle de la chorégraphe et réalisatrice iranienne Tanin Torabi.

Entrée libre dans la limite des places disponibles

Réservations groupes conseillées : Julie Parisse – 04 92 99 33 78  – parisse@palaisdesfestivals.com

 

TANIN TORABI

Artiste chorégraphe et réalisatrice iranienne

 

Danseuse et réalisatrice basée en Iran, Tanin Torabi aborde la chorégraphie, la performance et le cinéma, et explore les liens entre ces expressions artistiques. Issue d’une formation en sociologie, Tanin est diplômée d’une maîtrise en danse contemporaine de l’Université de Limerick, en Irlande. Avec plus de 10 ans d’expérience dans la réalisation de films de danse, elle est connue pour ses courts métrages en une seule prise, dans les espaces urbains de Téhéran. Ses films ont reçu de nombreux prix dans des catégories telles que « Prix du jury », « Prix de la vision créative », « Meilleur film d’artiste », « Meilleur film inspirant », pour n’en nommer que quelques-uns. Ses films ont également été étudiés dans de nombreuses académies à l’échelle internationale.

En 2019, elle a été présentée par Dance Magazine comme l’une des « 9 artistes de screendance que vous devriez connaître ». Les dernières œuvres de Tanin sont : Until, In Plain Sight, The Derive et Invisible Point.Parallèlement à sa production de films de danse, elle a créé un certain nombre de spectacles de danse en solo et s’investit dans la direction d’acteurs dans des pièces comme Powder Milk et We Won’t See them No More en Iran. Depuis 2020, elle se produit dans des œuvres du célèbre chorégraphe new-yorkais Yoshiko Chuma en ligne et en France.

Elle est récipiendaire d’une résidence de 6 mois à la Cité des Arts à Paris (2023-2024) pour travailler sur sa nouvelle pièce Sheno qui est une performance live en collaboration avec l’artiste musical Setareh Rahnamaa sur le concept de l’Iranien « Zoorkhaneh  » et sur le rôle des femmes dans la lutte contre l’obscurantisme.